Tu avais décidé de sortir ce soir, tu avais bien l’intention de fêter ces deux jours de congé. Quitte à avoir mal à la tête le lendemain mais tant pis. Pour une fois que tu pouvais t’amuser sans penser au boulot, tu n’allais guère t’en priver. C’était d’ailleurs pour cette raison que tu te trouverais actuellement dans un petit bar sympa. C’était le premier auquel tu avais pensé étant donné que tu connaissais un peu les gens qui y travaillait. Tu venais souvent parfois prendre un verre mais là, aujourd’hui tu n’avais pas le courage de calculer combien de shoot tu avais bu. C’était trop pour ton cerveau qui avait décidé de faire un tour et de lâchement t’abandonner à ton sort. Tu te passas une main dans les cheveux alors que tes doigts frôlaient doucement le rebord de ton verre presque vide. Pour l’occasion, tu avais fais un effort vestimentaire. Tu pouvais apprécier d’autres vêtements, après tout d’habitude tu étais toujours en pantalon et en blouse blanche. Un petit changement ne pouvait que te faire du bien puis qui sait, peut-être que tu allais croiser quelqu’un d’intéressant ici ? Autant être belle et maquillée que de ne ressembler à rien du tout et faire fuir tout le monde. Rien qu’à cette pensée, un petit sourire naquit sur tes lèvres. Tu imaginais parfaitement la scène. Tes doigts serrèrent le verre et tu le portas jusqu’à tes lèvres, buvant le peu de contenu qui restait. Tu tenais plutôt bien l’alcool… Enfin ça, c’était ce que tu pouvais clamer haut et fort mais on pouvait parfaitement voir dans ton regard, cette lueur un peu floutée qu’ont la plupart de ces gens ayant un peu trop consommé. Mais c’était de la faute de ce serveur, il suffisait que tu lèves le bras pour qu’il te serve une autre consommation. C’était un appel à l’alcool et toi, tu étais faible. Tu buvais sans répits. Cela pouvait aussi te permettre d’oublier cette semaine qui avait été riche en événements. Tu adorais travailler aux urgences, il y avait du monde, de l’action mais parfois c’était cruel. Tu avais beau avoir vingt-cinq ans, tu avais vu plus d’une fois l’horreur de certaines victimes et tu faisais de ton mieux pour que tout s’arrange. Tu secouas la tête, refusant de laisser ses pensées sombres t’envahir. Tu étais là pour t’amuser pas pour brouiller du noir. Alors que tu commençais à lever le bras pour faire signe au serveur de te servir un nouveau verre, ton regard se posa sur un jeune homme à l’opposé de toi. À l’autre bout du comptoir. Un sourire apparut sur tes lèvres et tu pris ton verre vide, te mordillant légèrement la lèvre. Tu te dirigeas vers lui, slalomant entre les personnes et tu t’installas à ses côtés sans te manifester pour l’instant. Tes yeux parcoururent son visage et après cette contemplation que dura quelques secondes, tu pris enfin le silence. « Payerez-vous un verre à une jeune femme seule ? » dit-elle en se mordillant la lèvre.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Dim 10 Jan - 16:29
Tu sais plus trop comment t'es arrivé là, mais tu y es et tu t'y sens bien. T'étais pas censé retrouver ton poussin ? Peut-être en tout cas, l'alcool t'as bien tenu compagnie en attendant. La foule a commencé à arriver, sans que tu t'en rendes compte. Il faut dire que tu étais en pleine discussion avec le serveur. Oui, tu es un habitué des lieux, tu t'en es jamais caché ! Tu connais le coin comme ta poche, tu fais partie des bons clients. Tu es de ceux qui laissent toujours un bon billet à chaque fin de semaine. Heureusement que tu n'y laisses pas toute ta paye, sinon tu ne serais pas dans la mouise à la fin du mois. Fin bon, il faut savoir s'amuser de temps à autre. Ce soir c'est ce que tu comptes faire ! Bon il est vrai qu'à la base tu devais y être avec Jake, il a sûrement dû oublier. Ou alors c'était avec Bryn ? Ton cerveau te joue des tours en ce moment. Il va falloir que tu songes à tout ça, tête reposer ça serait mieux. En tout cas, ce qui est sûr c'est que le serveur Albus aime bien papoter avec toi ! Va savoir si c'est à cause de ta fidélité ou de ta personnalité. Non, c'est ta personnalité, tu as toujours quelques choses d'intéressant à dire ! Ce n'est pas un profiteur, tu es plus intéressant que la plupart des gens ici dans ce bar ! C'est un fait ! Tu es même sûr que ton QI dépasse largement la moyenne ici présente. Modeste ? Ce mot t'effleure parfois le cerveau, mais tu préfères le laisser de côté ce soir ! Tout comme sa copine modération, ces deux là font la paire, mais ce soir tu les as mis de côté. Il est temps de s'amuser. Albus retourner vaquer à ses occupations de serveur/barman. Tu aurais pu être à sa place, si Flynn n'avait pas été un succès. Cette idée ne se creuse pas longtemps dans ton cerveau. Tu as été barman pendant deux mois, ça t'a amplement suffit. Ce métier tu le dénigres pas, juste que tu préfères ta place à la sienne. Vivre de son talent, c'est sa la vie ! Une gorgée de plus, tu tournes sur toi même, enfin sur le tabouret. Scrutant le peuple. Rien n'a se mettre sous la dent ! Décidément cette soirée n'est pas plus intéressante que le parasol qui tourne dans le verre de ta voisine ! Tu scrutes le petit groupe, sûrement une soirée entre fille Cocktails, filles, tu assimiles le tout. Tu pourrais aisément t'y incruster et choper la plus potable du lot. Tu pourrais. Ouais, mais non ! Rien qu'en entendant leur conversation, tu tournes la tête. Trop bas pour toi. Ce soir, tu as envie de plus. Tu mérites un neuf, voir un dix ! Tu n'as pas envie de te contenter d'un six et puis quoi encore ? C'est de toi dont on parle, tu mérites le meilleur ! Tu vas donc chercher le meilleur. C'est pas dit que tu le trouves, la difficulté ne te fait pas peur de base, mais là … Vu le degrés de la soirée. Tes chances de rentrer accompagner d'un neuf ou dix sont faibles ! Hors de question de ramener un chiffre inférieur ! « Payerez-vous un verre à une jeune femme seule ? » Cette voix te sors de tes rêveries, ce timbre de voix, tu le connais ! Trop bien même, tu pourrais le reconnaître entre milles. Ton petit sourire moité séducteur, moité narquois pointe le bout du nez. Ton visage fait face au sien, tu peux voir qu'elle se mordille les lèvres : séduisant. Tu adores ça ! « Ça dépend ce que j'y gagne en échange ? » Attaque en douceur, elle prend place à tes côtés. Tu appelles Albus de la main, lui faisant signe de ramener deux pintes ! Elle veut jouer, tu aimes ça ! Tu adores ça même ! « Alors comment ça se fait qu'une si jolie femme soit seule ce soir ? Monsieur l'a abandonné, si monsieur il y a ? » Que le jeu commence non ? Tu ne la quittes pas des yeux, tu la dévores presque de ton regard de prédateur ! C'est une habitude entre vous et tu peux aisément dire que vous adorez ça ! Finalement un chiffre plus qu'intéressant est venu à toi ! Que la soirée commence !
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Dim 10 Jan - 20:30
crazy night.
Syrius Arbuckle & CLÉO RHODEZ
Tu étais sortie toute seule, tu aurais très bien pu prévenir l’une de tes amis ou même inviter ta voisine à venir partager un verre avec toi. Mais tu étais tellement pressée de prendre l’air et de te changer les idées, que cela ne t’avait guère traversé l’esprit d’inviter quelqu’un. Du coup, tu te retrouvais un peu en mode solitude au comptoir, à regarder le liquide de ton verre comme si c’était la chose la plus incroyable au monde. Néanmoins, il fallait bien préciser que l’alcool faisait des dégâts sur ta capacité à réfléchir correctement. Tu ne savais pas comment certaines personnes arrivaient à rester debout malgré la quantité de verre qu’elles s’étaient enfilées devant toi. Bon, d’autres approchaient doucement du coma éthylique et cela ne pouvait que te faire froncer les sourcils. Tu les retrouvais souvent à l’hôpital lorsque tu étais de garde et c’était toujours la même chose. Soit tes collègues et toi les installaient dans une chambre et ils s’endormaient d’un seul coup soit ils devenaient limite collant et tu étais obligée de faire appel à quelqu’un de masculin pour freiner les ardeurs de certains. Surtout que la plupart pouvait rendre saoul juste en te soufflant au visage. Un léger soupire s’échappa de tes lèvres avant que tu prêtes enfin attention aux personnes qui t’entouraient. Entre le barman qui faisait des allers-retours entre les clients, mémorisant chaque commande. Tu le plaignais le pauvre, cela ne devait pas être simple comme boulot. Tu n’avais jamais travaillé hormis maintenant, même pour payer tes études. Tes parents avaient suffisamment économisé pour ton frère et toi et tu avais pu te concentrer uniquement sur celles-ci. Mais tu ne savais pas si tu aurais eu le courage de faire ce genre de métier, que ce soit barman ou serveuse. Vu la maladresse que tu avais par moment – à croire que certaines fois, tu étais réellement maudite – tu aurais tout cassé autour de toi. Pas terrible comme serveuse. Tu secouas légèrement la tête afin de te concentrer de nouveau. Ton cerveau partait un peu dans tous les sens. Tu ne le contrôlais même plus.
Quelque chose, ou plutôt quelqu’un attira ton attention et tu ne perdis guère de temps pour quitter ton siège et le rejoindre, un léger sourire au bord des lèvres. Tu te mordilles la lèvre alors que tu prends la parole pour manifester ta présence à ses côtés. Tu le regardes, entre lui et toi c’est compliqué. Tu ne peux pas nier qu’il a un sacré charme mais rien ne se passe entre vous deux. C’est peut-être mieux ainsi ne peut s’empêcher ton cerveau de te dire quand il est capable de fonctionner. Aujourd’hui, tu as juste envie de te laisser aller et de voir où les choses iront. Tu ne peux t’empêcher de laisser échapper un petit face à ses paroles et tu passes ta langue sur tes lèvres avant de lui répondre avec un petit sourire. « Je ne sais pas, qu’est ce que tu veux ? » Tu le regardes droit dans les yeux en prononçant ses quelques mots. Finalement, tu as peut-être bien fait de ne pas inviter quelqu’un à partager ta soirée. Tu n’aurais guère eu l’occasion d’aller lui parler. Tu n’étais pas ce genre de filles à laisser tomber les copines juste parce qu’elle voyait quelqu’un d’intéressant. Même si ce mot était bien faible lorsqu’il s’agissait de ce jeune homme. Il commanda deux boissons, ton sourire ne quittant plus tes lèvres. Tu finis par secouer les épaules. « Malheureusement pour moi, il n’y a pas de monsieur. Je suis seule ce soir, seule avec mon pauvre verre vide. Et toi alors, pas de demoiselle à tes côtés ou de proie en vue ? » demandas-tu en le regardant droit dans les yeux. Avec le charme qu’il avait, tu étais sûr qu’il pouvait avoir qui il voulait. Il suffisait juste qu’il claque les doigts et bons nombres de filles seraient à ses pieds, tu en étais certaine. Son regard avait ce don d’affoler tes sens ou bien, c’était juste l’alcool qui faisait effet ? Tu n’en savais rien mais il te troublait. Tu torturais ta lèvre inférieure en la mordillant tandis que le barman déposa devant vous les deux pintes qu’il avait commandées. « A cette soirée ? » dis-tu en prenant celle-ci en main et en la levant légèrement. Tu le regardais presque avec un air de défi, s’il voulait jouer, il ne serait pas le seul dans ce cas.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Lun 11 Jan - 15:25
Ta soirée t'avait conduit ici, tu avais probablement rendez-vous, mais ton cerveau a oublié avec qui. Au pire, la personne te fera signe au moment voulu, tu connais tes amis pour savoir qu'ils se font pas oubliés Pour l'instant tu t'en foutais royalement de savoir avec qui tu avais rendez-vous ou qui tu allais planter. Le jeu était là et c'était ça qui comptait le plus. Votre jeu. Tu ne sais plus exactement comment ça à commencer ou qui l'a lancé. Tu te souviens juste que ça a toujours été ainsi entre vous. Cette tension. Ce charme. Ce désir. Sans pourtant rien obtenir. Et oui ! Le grand séducteur que tu es, ne l'a pas mis dans ton lit. Cette étape, vous l'avez jamais franchi, pourtant ça t'a longtemps effleuré l'esprit. Tu mentirais en disant que tu n'y as jamais rêvé. Son corps… Rien que d'y penser tu te mords la lèvre. La voir devant toi, jouant ce petit jeu, ça te plaît d'autant plus. Tout en elle dégage quelque chose qui t'attires. « Je ne sais pas, qu’est ce que tu veux ? » Boum elle continue un peu plus. Son regard en dit long. Ton sourire s'agrandit. Bon sang que tu aimes ça. Tu t'approches d'elle, suffisamment pour que tes lèvres soient proche de son oreille. Tu peux sentir son parfum enivrant et les frissons que tu lui procures. C'est l'effet que tu fais sur la gente féminine. « J'ai pas mal d'idée en tête, mais y a trop de monde, on verra plus tard... » Tu plonges ton regard dans le sien, pour que la fin de ta phrase est beaucoup plus d'impact. Albus te connaît, tu as vu dans son regard qu'il te taquine déjà. Et oui tu ne restes pas seul, c'est bien te connaître. Cette fois ci, le numéro parfait est venu à toi, pas besoin de te déplacer. Tu aimes te faire désirer. Et puis ça te plaît de voir une femme qui ose faire le premier pas. Cela veut dire qu'elle n'a pas froid aux yeux. Bon là tu sais que c'est différent, dans le fond c'est vous. Elle n'est pas n'importe qui. Ce n'est pas une fille lambda. C'est elle. Celle que tu nommes ton attraction, mais aussi amie. Celle qui t'attire depuis un long moment, mais dont les limites n'ont jamais été franchises. Pourquoi ? Vous vous êtes jamais posés la question. C'est plus facile ainsi, pas de prise de tête et pas besoin de réfléchir. « Malheureusement pour moi, il n’y a pas de monsieur. Je suis seule ce soir, seule avec mon pauvre verre vide. Et toi alors, pas de demoiselle à tes côtés ou de proie en vue ? » Elle te quitte pas des yeux. Tu en profites pour faire de même. Tu la boufferais presque du regard. Oui tu es intéressé et tu sais que c'est réciproque. Il faudrait être abruti pour pas le voir. C'est aussi gros qu'un nez d'un clown. « Et bien c'est ma chance alors, pas besoin de proie en vue quand on a une charmante compagnie ! » Ce qui est vraie ! De toute façon, aucune ne l'égale et ça tu en es sûr. De ce que tu as vu, sans façon. Ce soir tu as décidé que tu ne t'abaisserais pas. Tu n'es pas en manque à ce point là ! Et puis tu as une certaine estime de toi même ! Faut pas pousser non plus. Elle lève son verre, tu en fais de même. « Alors qu'est-ce qui amène une demoiselle seule à boire en cette soirée ? J'espère pas pour moi que c'est la faute à un homme. » T'as pas envie de la consoler, quoique tu peux être l'épaule et pas que ça … « Quoique je doute que ça soit la faute aux hommes, sinon tu ne serais pas venue me parler ! » Oui tu passes au tutoiement, c'est plus facile. Et puis dans le fond c'est vous. Le tu reprends vite sa place dans votre discussion, c'est normal. Tu en profites pour analyser sa tenue. Diablement sexy ! Dur a croire qu'elle puisse être toute seule, c'est bien ta veine !
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Lun 18 Jan - 13:48
crazy night.
Syrius Arbuckle & CLÉO RHODEZ
Tu ne t’attendais pas à le croiser ici, ni même à croiser quelqu’un de ton entourage. Il faut dire qu’avec les quelques verres – tu avais arrêté de compter à partir du deuxième – que tu t’étais enfilé, tu étais plutôt fière d’avoir pu reconnaître au moins une tête familière. Mais c’était justement parce qu’elle l’était un peu trop ? Tu ne pouvais guère nier que celui-ci te plaisait, il avait cette faculté de te faire perdre la tête rien qu’en plongeant son regard dans le tien. Il affolait tes sens et ça te rendait dingue. Mais tu n’avais jamais été plus loin que des sous-entendus ou des regards et cela t’allait. La tension qui régnait entre vous te convenait et t’amusait en même temps. Puis si tu cédais, qui te disait que ce serait pareil entre vous par la suite ? Tu étais en pleine partie d’un jeu dangereux avec lui mais une fois la partie finie, tu ignorais ce qui pouvait bien se passer. Soit le jeu reprenait avec un peu plus d’enjeu soit c’était terminé une bonne fois pour toute. Et tu ne souhaitais pas que cela arrive. Tu appréciais trop les frissons qui parcouraient ton corps à chaque geste de sa part pour y renoncer. Il s’approche de toi et ça te fait sourire doucement. Ton regard se noie dans le sien et tu ne peux que te mordre la lèvre face à ses mots. Tu es trop curieuse pour ton propre bien. Tu lui fais alors une petite moue, tes yeux devenant presque suppliant. « Dommage, j’aurais bien aimé avoir un petit exemple, juste pour savoir si ça vaut le coup ou pas. » Peut-être qu’en temps normal, ton cerveau t’aurait dit de laisser tomber, de ne pas trop jouer à ce jeu au risque de le regretter.
Mais ce soir, ton cerveau avait décidé de rester au placard et c’était pour le mieux. L’alcool ayant eu raison de lui. Rip lui. Tu ne peux que sourire quand il parla d’un potentiel homme, et non malheureusement pour toi, tu étais seule. C’était triste d’arriver presque à la trentaine et de n’avoir personne dans sa vie. Mais es ce que ça te manquait ? Pas vraiment, au moins tu étais libre d’agir comme tu le voulais. Puis de toute façon, tu n’avais pas le temps pour ça. Tu étais bien trop focalisée sur ton métier pour penser à chercher ce que les romantiques appelaient l’homme idéal. Tu savais que cela n’existait pas de toute façon. Tu roulas des yeux face à ses mots, souriant tout de même. « Je reconnais que là, tu as raison. Je suis de bonne compagnie mais je n’ai pas à me plaindre non plus. J’ai de la chance d’être ici. » Il pourrait tous les avoir et pourtant, il était en train de parler avec toi. Tu te mordillas la lèvre, fichu tic que tu avais. Puis c’était de sa faute si tu torturais ta pauvre lèvre inférieure, il n’avait pas qu’à être aussi sexy. Un rire s’échappa de tes lèvres et tu finis par secouer la tête. « Si ça peut te soulager, non je ne suis pas ici à cause d’un homme. Si c’était le cas, je serais plus dans mon appartement plutôt qu’à te parler, c’est vrai. Je serais plus occupée à regarder un film à l’eau de rose, mangeant un pot de glace. Très original et glamour. » dis-tu avec un sourire. Par chance, cela ne t’ai jamais arrivé ou du moins un garçon ne t’avait jamais autant fait souffert pour que tu parviennes à cette extrémité. Toi qui était toujours souriante, ce serait vraiment étrange de te voir sans. Tu te passas une main dans les cheveux avant de reprendre. « Je suis venue plus pour me détendre, me changer les idées et pour l’instant, ça marche plutôt pas mal. » Tu le regardas droit dans les yeux, oui c’était en partie grâce à lui que tu ne pensais plus à ton boulot. Lui et l’alcool faisaient un très bon mélange pour passer une bonne soirée. Tu devrais songer peut-être à les combiner plus souvent.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Ven 22 Jan - 12:49
Le jeu tu aimes ça. Tu adores ça. Tu es un joueur. Depuis que tes amis qu'on nomme hormones ont pointés leur bout du nez. Et surtout depuis que tu as changé physiquement, oui car il faut l'avouer, avant tu n'étais pas l'étalon que tu es à présent. Ah fichu puberté ! Enfin bref, depuis qu'elles sont arrivées, tu as changé. Tu as laissé place au gamin timide et solitaire que tu étais. Tu as pris confiance en toi et tu es devenu ce que tu es à présent. Soit un joueur. Tu as pris la vie comme un jeu et c'est ce qu'elle est. A tes yeux, la vie est un grand plateau de jeu, dont tu es le maître. Chaque action entraîne une conséquence. La plupart du temps, tu les assumes toutes. Il est rare que tu te défiles. Même tes retards tu les assumes pleinement. Ainsi que les conséquences de tes jeux. Tu n'es pas du genre à te défiler… pourtant … Avec elle c'est différent. Tu n'appelles pas ça te défiler, mais s'arrêter. C'est … hors contrôle de toi. Comme-ci votre entourage ne voulait pas que ça arrivait. Pourtant elle est bien là ce soir et le jeu a repris place. Tu adores ça. Et le pire c'est qu'elle en redemande. « Dommage, j’aurais bien aimé avoir un petit exemple, juste pour savoir si ça vaut le coup ou pas. » Ton sourire s'élargit. Elle continue à te provoquer. Toujours dans le jeu. Tu ne peux nier que tu as une adversaire de taille. Elle n'a pas froid aux yeux et sait parfaitement où appuyer. Elle connaît les mécanismes de ton cerveau, du moins c'est l'impression qu'elle te donne. Tu plantes ton regard dans le sien. « Crois-moi que ça vaut largement le coup ... » Ton regard n'a pas flanché et à travers ces quelques mots, tu as pu lui faire comprendre le message. Oh oui ça vaut le coup. Tu n'es pas du genre à te vanter… Bon si un peu, mais là tu es sûr de toi. Tu pourrais faillir à ta tâche, mais tu ne crois pas en ça. Tu es toi. Et l'idée de la décevoir ne t'effleure pas les pensées. La décevoir en quoi ? Tes prouesses sont légendaires et elle en sait quelque chose ! Après tout, elle t'a déjà vu avec différentes filles, qui ne tardaient pas d'éloge sur toi. Tu n'es pas ce qu'on peut qualifier d'homme parfait, mais tu es un parfait amant. L'adjectif parfait n'existe pour personne, tu en es conscient, mais dans cette situation… Tu pourrais poser ta candidature pour le poste. Toujours est-il que tu sais qu'elle sera satisfaite ! Tu n'en doutes pas. L'idée de franchir le pas avec elle… t'intéresse de plus en plus, mais à contrario tu es un brin effrayer. Oui toi. Tu ne saurais pas expliquer le pourquoi du comment, mais c'est ainsi. Cela t'effraie ! Elle, ce n'est pas n'importe qui. Elle est la première à te dire non. Du moins, à te résister. C'est la seule que tu n'as pas encore mis dans ton lit. Et si tout changeait par la suite … L'idée de la perdre t'effraie un peu. C'est une part de toi, que tu ne connaissais pas et ça, ça t'effraie plus qu'autre chose. L'heure n'est pas aux sentiments ou autres conneries du genre, mais à l'amusement ! « Je reconnais que là, tu as raison. Je suis de bonne compagnie mais je n’ai pas à me plaindre non plus. J’ai de la chance d’être ici. » Une chance pour toi aussi. Tu lui rends son sourire. Il est vrai que tu aurais pu avoir n'importe quelle demoiselle. Seulement ce soir, tu n'as pas envie d'abaisser ton barème et puis elle vaut largement n'importe quelle fille ici présente. Ton subconscient essaierait-il de t'envoyer un message ? On a dit qu'on le laissait loin derrière toi. Tu n'as pas assez bu, voilà ce qui se passe. Tu bois cul sec ta pinte et en recommande une autre. Il est temps de laisser parler le maître en toi ! « Si ça peut te soulager, non je ne suis pas ici à cause d’un homme. Si c’était le cas, je serais plus dans mon appartement plutôt qu’à te parler, c’est vrai. Je serais plus occupée à regarder un film à l’eau de rose, mangeant un pot de glace. Très original et glamour. » A ces mots tu peux t'empêcher de rire. « C'est .. cliché ! J'ai dû mal à t'imaginer recroqueviller sous un plaid avec ta glace devant un film à l'eau de rose. » Tu visualises la scène. Trop cliché à ton goût. Tu reportes ton attention sur elle, qui sourit avec toi. Elle t'indique que c'est la vérité ! « Fais moi la promesse que la prochaine fois que l'idée te survint, appelle moi ! Je suis un bien meilleur plaid que le tiens ! Et puis j'aimerai bien tester ce genre de cliché ! » Est-ce que ta part de féminité ressort ? Certainement pas. Tu lui indiques juste que ce n'est pas la fin. Juste le début ! Et oui tu comptes bien t'infiltrer un peu plus dans sa vie. « Ceci dit je suis rassuré que ça ne soit pas un cause d'un homme. Bien que j'en doutais. Et puis il serait sacrément con pour lâcher une telle perle que toi ! Moi à sa place je te lâcherai pas, je pense même que je pourrai te séquestrer, en tout bien tout honneur, rassure toi ! Je ne suis pas un psychopathe. » Oui bon c'est ce que dirais un psychopathe, mais il est vrai, tu n'en es pas un. Fin pas que tu saches. Et puis tu la séquestrerais pour son bien. C'est que tu commences à t'embrouiller. L'alcool ? Peut-être bien ! « Je suis venue plus pour me détendre, me changer les idées et pour l’instant, ça marche plutôt pas mal. » C'est ta chance apparemment ! Tu lèves ton verre, elle te suit ! « Et bien changeons nous les idées ! » Petit clin d'oeil. Tu bois cul sec ton shooter et trempes tes lèvres dans la bière. Le mélange n'est pas divin, mais tu sens le liquide montre en toi. Une musique raisonne en fond. Tu reconnais l'air. Tu t'approches à nouveau d'elle, assez près pour lui murmurer « I wanna do bad things with you. » Tu décales ton visage, assez près pour sentir son souffle sur tes lèvres. Tu recules un peu, bois une gorgée et descends de ton siège. Ta main vient vers la sienne. Est-ce qu'elle va accepter ta proposition … telle est la question …
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Dim 24 Jan - 16:58
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Syrius Arbuckle & CLÉO RHODEZ
Certains critiqueraient sans doute ton comportement, cette façon de te mordiller ta lèvre en le fixant comme si rien qu’avec ce geste, cela montrait à quel point, tu avais dû mal à lui résister. Mais tu ne voulais pas céder à cette envie, cette envie que te faisait tournait la tête. Tu aurais pourtant aimé savoir ce que cela faisait d’être dans ses bras mais une part de toi refusait de se laisser aller. Qu’est ce qui se passerait par la suite ? Là, il continuait de te parler mais une fois dans le même lit, te laisserait-il tomber comme ces nombreuses filles que tu avais vues pendu à son bras. Tu ne voulais pas subir la même chose qu’elles, certes tu ne voulais pas t’engager. Tu aimais cette vie de célibataire qui pouvait faire ce qu’elle souhaitait quand elle le voulait. S’attacher, c’était entrer dans une routine et finir par souffrir. Tu étais bien comme tu étais maintenant. De toute façon, tu n’avais pas de place pour ça, ton métier te prenait tout ton temps. Puis, ce n’était pas parce que tu ne voulais pas être en couple que forcément, tu avais un comportement de garce. Certes, tu avais des relations mais tu ne les enchaîné pas comme tu avais pu voir d’autres filles le faire. Mais tu ne voulais pas penser à elles alors qu’un séduisant garçon se trouvait en face de toi. Tu voulais gagner à ce jeu aujourd’hui, peut-être à cause de l’alcool que tu buvais qui était peut-être trop forte ou parce que tu en avais marre de ressentir ce blocage à chaque fois que tu le voyais. Comme quoi, toi-même, tu ne savais pas ce que tu voulais. Ta raison t’ordonnait d’arrêter ce jeu bien trop dangereux pour toi tandis que tes envies te poussaient à continuer. Et cette nuit, c’était la deuxième option qui semblait prendre le dessus. Il faut croire que tu étais faible ce soir plus que les autres jours. Ou bien, tu en étais lasse de toute cette tension qui régnait entre vous. Celle qui te faisait frissonner lorsque vos yeux se croisaient et qu’il plongeait ainsi son regard dans le tien. Il avait cette manière de te couper le souffle, il n’y avait que lui qui parvenait à te mettre dans cet état-là. Pourtant, vous n’étiez amis rien de plus. Tu n’avais même pas eu l’occasion de goûter à ses lèvres qu’il t’arrivait de fixer par moment. « C’est ce qu’on verra, j’aime me faire mon propre avis. » Tu ne le lâches pas un seul instant du regard avant que tu lèves ton verre et ne boives une gorgée de celui-ci. Tu le tentes autant qu’il le fait avec toi. Ce jeu t’amuse, tu te passas la langue sur tes lèvres. Fichue manie que tu avais pris quand tu buvais une pinte ; tu craignais toujours d’avoir de la mousse sur tes lèvres et c’était loin d’être très glamour. Tu ne voulais guère paraître ridicule à ses yeux. C’était étonnant d’ailleurs, d’ordinaire tu te moquais bien de ce que les autres pouvaient penser de toi. Après tout, chacun avait sa propre façon de boire. Certains buvaient cul sec, toi tu profitais de chaque verre, laissant coller le liquide dans ta gorge. Tu ressentais chaque brûlure lorsque celle-ci passait dans ton œsophage mais loin de te dégoutter, tu en redemandais. Après tout, tu étais là pour oublier, pas pour rester sage. Tu avais bien besoin de détente et peut-être qu’aujourd’hui, tu pourrais y arriver de manière complète. Un rire s’échappa de tes lèvres, ta tête se penchant légèrement en arrière avant de torturer ta lèvre une nouvelle fois. « Fais attention à tes paroles, je pourrais très bien être capable de le faire et tu devras me supporter toute une soirée. Mais attends-toi à recevoir un message de ma part, juste pour que je puisse avoir la chance de tester ce fameux plaid. Mais s’il ne fait pas l’affaire, je risque de le mettre à la porte et de reprendre l’ancien. » dis-tu amusé par la situation. Peut-être que c’était cliché mais après une longue journée de boulot, il t’arrivait d le faire. Pas quand c’était un homme qui te brisait le cœur. Ce n’était pas arrivé depuis fort longtemps, de toute manière. Tu te passais une main dans les cheveux, enroulant une de tes mèches de cheveux autour de ton doigt avant qu’un sourire éclaire de nouveau ton visage. « Je ne suis pas sûr que ça me rassure réellement. Qui sait ce que tu pourrais être capable de faire, tu serais peut-être pire qu’un psychopathe… » Non, hors de question que tu laisses ton cerveau dériver vers ce chemin. Tu respires calmement avant de reprendre la parole. « Enfin bref, la question ne se pose pas. Je pense qu’il n’y a que toi qui trouve que je suis une perle, je fais peur aux autres sans doute. » dis-tu en secouant les épaules. Tu le regardes boire ces deux boissons en vitesse, ton souffle se coupe lorsqu’il se penche vers toi. Ton rythme cardiaque ayant subitement décidé de s’accélérer, tu ne sais pas si c’est à cause de l’alcool ou de ce qu’il vient de murmurer. Tu sens son souffle sur tes lèvres et tu ne peux pas empêcher ton regard de baisser les yeux vers celles-ci. Tu sais que c’est mal et lorsqu’il te tend sa main, tu le regardes un instant avant de sourire. Ta main finit dans la sienne et tu laisses ton corps frôler le sien avant de murmurer. « Just this night.. » finis-tu par répondre, ton regard ne le quittant pas un seul instant. Tu avances ton visage passant ta main derrière sa nuque et tu laisses juste tes lèvres frôler juste les siennes avant de se reculer, un petit sourire en coin.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Lun 25 Jan - 16:02
A quoi tu joues ? Tu sais foutrement rien. Tu le fais et ça te plaît. Les limites sont faites pour être repoussées ? C'est ce que tu t'évertues à croire et surtout à penser. Vous jouez avec le feu, mais tu t'en fous. Tu sens l'alcool, oh oui tu le sens bien. Et puis y a aussi l'euphorie du moment. L'ambiance. Le jeu. Elle. Tout ça alimente ton envie de continuer. Voir où tout ça peut mener. Continuer, s'arrêter ? Tu choisis l'option un. Et vu son regard, tu vois qu'elle te suit. Plus elle se mordille la lèvre, plus tu as envie de les mordiller à ton tour. Tu les as jamais goûté, mais pourtant elles te font envie. Tu es sûr qu'elles doivent un goût sucrée, un goût qui te donne envie d'y revenir et pas qu'une fois. Plus tu fais des propositions, plus elle te suit. Elle a tout autant envie que toi de jouer. C'est ce qui te plaît encore plus. A la base, tu étais venu pour rejoindre un pote. Dont le nom t'échappe. De toute façon, tu n'es pas perdant puisque tu as trouvé une bien meilleure compagnie. Et puis la plupart de tes amies savent que tu n'as pas une horloge dans la tête. Ils s'y font à ton retard et puis tu en connais qui sont encore plus en retard que toi. Bref, tout ça pour dire que l'ambiance est au rendez-vous. Tu ne regrettes absolument pas d'être sortie ce soir. « Fais attention à tes paroles, je pourrais très bien être capable de le faire et tu devras me supporter toute une soirée. Mais attends-toi à recevoir un message de ma part, juste pour que je puisse avoir la chance de tester ce fameux plaid. Mais s’il ne fait pas l’affaire, je risque de le mettre à la porte et de reprendre l’ancien. » Ton sourire s'agrandit. Ton regard se plante dans le sien. Message reçu et plus que clair. « Je tâcherai d'être à la hauteur, mais je ne pense pas que tu seras déçue ! Et quand bien même tu pourrais l'être, ce dont je doute, tu peux aisément reprendre l'ancien … mais je doute que tu veuilles le reprendre une fois que tu auras goûté à ma chaleur ! » Ta proposition n'est pas passée à travers ça te plaît ! Et puis tu ne disais pas ça pour faire beau, mais tu le pensais vraiment. Bien sûr que tu préférerais passer ta soirée devant un bon policier, mais pourquoi pas tester un vieux cliché. Ce genre de soirée, t'as toujours intéressé, savoir ce qu'on pouvait ressentir. De l'ennuie ? Peut-être bien. Il doit pourtant y avoir un intérêt dans tout ça. Toi tu penses avoir trouvé le tien : elle. « Et pour ce qui est de devoir te supporter toute une soirée, je pense qu'il n'y a pas de problème ! Je pourrai même te supporter plus longtemps qu'une soirée ... » Une nuit par exemple. Tu y penses. Et il y a bien plus. Tellement d'idées chevauchent ta tête en ce moment. « Je ne suis pas sûr que ça me rassure réellement. Qui sait ce que tu pourrais être capable de faire, tu serais peut-être pire qu’un psychopathe… » C'est plus fort que toi, tu éclates de rire. Elle t'a prise au piège. Toi qui voulait passer pour un gentil séducteur. Tu vas bientôt passer pour un psychopathe. Mettons ça sur le compte de l'alcool. Oui ce délicieux nectar te fait tourner la tête. « Enfin bref, la question ne se pose pas. Je pense qu’il n’y a que toi qui trouve que je suis une perle, je fais peur aux autres sans doute. » Tu souris un peu plus. Tu vois que ton compliment n'est pas non plus passé à la trappe. Ce qui te plaît. « Et bien tu l'es, à mes yeux tu es une perle et celui qui le voit pas devrait être le roi des idiots ! Et ce n'est pas une technique de drague ou de séquestration ! Non, la simple vérité ! Du coup, je m'estime l'homme le plus heureux de la soirée ! » L'alcool, ce doux breuvage qui commence à te faire dire la vérité. C'est mal. Oui et non. D'un côté, tu ne fais que dire la vérité. Après tout, il faudrait être un crétin pour ne pas voir qu'elle est … unique ! Oui c'est le mot que tu emploierais. Le liquide traverse ton œsophage. L'envie de jouer se fait sentir. Le tout est de savoir si elle va te suivre. Elle saisit ta main. Des frissons parcourt ton corps. Tu ressens rarement ça, ça doit être dû à l'alcool. Sûrement. Elle s'approche de toi. Ton regard se bloque dans le sien. Ton corps suit chacun de ses mouvements. « Just this night.. » Elle s'avance un peu plus et dépose ses lèvres au coin des tiennes… Elle se recule. La joueuse. Tu esquisses un sourire, passant ta langue sur ta lèvre inférieur. Que le jeu commence. Tu te mords la lèvre à ton tour. Attrapant sa main. Tu l'emmènes à l'écart de la foule. Vous traversez la piste. Tu trouves un petit coin. Ton corps parle pour toi. Il la bloque entre toi et le mur. Ton visage s'avance, tu sens son souffle, ta main descend sur son petit corps. Ce délicieux petit corps. Tes yeux ne quittent pas les siens. Tes lèvres s'avancent. Tu plaques ta main sur le mur. Et tes lèvres sur les siennes. Remontant ta main vers sa nuque. Ayant pris soin de caresser son dos au passage. Tu te contrôles plus. Elle n'a pas l'air de te repousser. Au contraire, tu sens sa main dans ton dos. Tu oublies la foule. Tu oublies le reste du monde, pour l'instant c'est elle. Rien qu'elle et toi.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Mer 27 Jan - 14:34
crazy night.
Syrius Arbuckle & CLÉO RHODEZ
Tu ne devrais pas agir de cette façon, tu ne devrais pas rentrer dans son jeu parce que certes tu connaissais les limites à ne pas franchir pour ne pas risquer de perdre cette relation que tu entretenais avec lui. Et pourtant, cela t’attirait de plus en plus, tu avais plus de mal à dire non à tes envies. Cette envie de céder et de voir où les choses mèneront, surement au désastre. Tu n’aurais peut-être pas dû boire, ton cerveau n’était pas capable de prendre une décision censée et ce que tu allais sans doute faire, qui sait peut-être que tu le regretterais le lendemain. Mais pour le moment, c’était le cadet de tes soucis. Tu ne te préoccupais que de son regard, rentrant ton jeu pour lui montrer que tu pouvais le battre même si tu n’en étais pas sûr. Tu espérais juste être une assez bonne comédienne pour lui faire penser le contraire. Bien que tu en doutais. Toi qui voulais juste une soirée pour te détendre, voulant oublier tous les soucis que ton métier d’infirmière apportait, tu semblais avoir trouvé une distraction plus que satisfaisante. D’ordinaire, il l’était déjà mais ce soir, celui-ci semblait encore plus occupé ton esprit que les fois précédentes. Peut-être une signe que ce soir tout allait changer ? Tu n’en savais rien et une part de toi ne voulait pas connaître tout, après tout c’était assez plaisant cette sensation. Celle-ci te procurait une douce chaleur dans le corps et torturait un peu plus tes lèvres. « Tu sembles sûr de toi… Mais c’est ce qu’on verra. Maintenant il faut juste qu’on se voit pour que j’essaye et me fasse mon propre avis. Je suis très difficile, je pourrais très bien te faire douter de ton talent. Tu es prêt à en prendre le risque ? Au pire si ça arrive, je pourrais toujours te donner des conseils pour être encore meilleur et qui sait, satisfaire mes attentes. » Tu étais prête à lui accorder une deuxième chance si jamais la première n’allait pas. Puis une soirée en sa compagnie ne se refusait. Outre cette attraction qu’il y avait entre vous, tu le considérais également comme un ami. Même si tu doutais pouvoir garder ton calme si jamais tu décidais de t’en servir comme source de chaleur. Être collée à lui pourrait très vite te faire tourner la tête, encore plus que toute l’alcool que tu avais consommé aujourd’hui. « Intéressant à savoir, je le note mais après il faudrait que moi aussi, je souhaite ta compagnie plus longtemps. Tu penses pouvoir m’en convaincre ? » Bon, si tu étais franche avec toi-même, il n’aurait guère d’argument à donner pour te convaincre. Tu aimais l’avoir à tes côtés, ressentir cette sensation de bien être et de chaleur quand ton regard croisant le tien.
Un sourire apparut sur tes lèvres en le voyant rire, es ce que c’était possible d’être encore plus attirant rien qu’en riant ? Rien qu’à cette pensée, tu avais envie de te mettre des gifles. Il fallait que tu gardes l’esprit clair mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Tu ne peux t’empêcher d’être surprise par ses paroles et pendant quelques secondes, tu te contentes de le regarder essayant de voir s’il disait réellement la vérité ou bien juste pour te faire plaisir. « Ravie de savoir que tu ne veux pas me séquestrer, je me sens plus rassurée d’être avec toi maintenant. Il y a pleins d’idiots alors mais je ne vais pas m’en plaindre hein. Être libre, ce n’est pas plus mal non ? Je peux faire le bonheur d’un homme pendant une soirée, y en a un au moins qui est chanceux d’avoir pu attirer mon attention. » Tu te passas une main dans les cheveux en le regardant droit dans les yeux avant qu’il ne se lève et que tu prennes finalement sa main. Tu n’avais pas vraiment perdu de temps à faire le choix. Tu souhaitais juste ce soir savoir ce que cela faisait d’être avec lui. Tu aurais tout le temps de penser aux conséquences de tes actes et de regretter peut-être le lendemain quand tu te réveilleras avec un beau mal de tête sans doute. Mais tu ne veux pas lui céder trop vite alors tu fais semblant de l’embrasser, te décalant juste avant que tes lèvres ne se posent sur les siennes. Tu peux sentir son souffle et ça affole tes sens. Tu peux dire adieu au peu de raison que tu avais encore. Tu te laisses entraîner, ne prêtant guère attention aux autres personnes qui dansaient et tu finis par te retrouver dans un coin. Tu te sens pris au piège entre le mur et lui et pourtant tu es loin d’avoir peur. Tu le vois s’approcher et ton regard est fixé sur lui, le cœur au bord des lèvres appréhendant la suite. Un frisson parcourt ton corps quand sa main remonte de ton dos à ta nuque et tu te laisses juste aller. Tu réponds à son baiser et c’est à ce moment là que tu te demandes pourquoi tu n’as pas cédé plus tôt. Ta tête tourne et l’une de tes mains vient sur poser sur ton torse, agrippant légèrement son haut comme pour l’empêcher de se reculer.
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Mer 27 Jan - 17:31
Tous tes sens sont en émois. Ton regard se perd dans le sien. L'alcool te rend fou. Ou alors c'est-elle. T'en sais trop rien. Jusqu'à maintenant ça a toujours été une habitude, ce jeu. Seulement tu sens que ce soir c'est différent. Elle t'a bien fait comprendre qu'elle pourrait franchir les limites… Du moins, c'est ce que ses signaux t'ont envoyés. Et donc ce que tu en as déduit. Et si elle jouait la comédie ? Non, tes sens sont aux aguets, tu repères quand une fille te veut, ou pas. Là c'est le cas. Ce qui tombe bien puisque toi aussi. Il faudrait que l'un de vous deux arrêtes. Sauf que ça ne sera pas toi. Tu as envie de découvrir. D'aller outre cette limite. De voir au-delà de cette frontière. Qu'est-ce qu'il peut y avoir de mal à ça ? Peut-être beaucoup. Aggraver la situation et la rendre plus … ambiguë. Ou pas. Au fond de toi, t'en sais foutrement rien et ça te plaît. Tu n'as pas peur de ce qui pourrait se passer au petit matin. T'as même plutôt envie de le savoir. Cette proximité te plaît. Ce jeu te donne envie d'aller plus loin. Cette limite te tue. Après tout, les frontières sont faites pour être franchi, t'as envie de te la jouer explorateur ce soir. Tu arrêtes les interdits et tu fonces. Demain est un autre jour n'est-ce pas. C'est ce que tu te dis pour te rassurer et puis elle en a envie. Sinon elle ne serait pas là … Pour l'instant l'alcool te fait juste dire la vérité. Et ça ce n'est peut-être pas bon… ou si. T'en sais trop rien. Tes pensées se perdent. Plus tu la regardes et plus c'est le brouillard en toi. Elle t'hypnose. Allez savoir pourquoi, mais elle est différente des autres. Peut-être parce que tu la connais ? Ou juste parce que tu n'as jamais franchi cette limite ? Allez savoir. Toujours est-il qu'en sa présence, tu n'as jamais été le joueur que tu es. Tu as toujours été toi. Bien sûr que vous jouez ensemble, vous vous allumez depuis un moment, mais c'est différent. En temps normal, soit tu l'aurais déjà mis dans ton lit, soit tu serais passé à autre chose. Là non. Tu continues les provocations. Tu amplifies l'ambiance. Elle dégage quelque chose qui t'attires. Un je ne sais quoi, qui te donnes envie de plus. Elle t'intrigue et te captive. Tu sens que tu vas le regretter, mais tu t'en fous. Ce soir, tu n'es pas là pour penser ou te prendre la tête, mais pour oublier. Profiter de l'instant présent. Ce qui tombe plutôt bien, puisqu'elle est du même avis que toi ! « Tu sembles sûr de toi… Mais c’est ce qu’on verra. Maintenant il faut juste qu’on se voit pour que j’essaye et me fasse mon propre avis. Je suis très difficile, je pourrais très bien te faire douter de ton talent. Tu es prêt à en prendre le risque ? Au pire si ça arrive, je pourrais toujours te donner des conseils pour être encore meilleur et qui sait, satisfaire mes attentes. » Tu souris à ses paroles. Sûr de toi ? Tu l'as toujours été, surtout en la présence féminine. Et puis elle te tend une autre perche, une seconde chance entre guillemet. Ton sourire se fait plus grand. Ton visage se rapproche du sien. « Sache que si je ne suis pas à la hauteur, c'est avec plaisir que je suivrais tes conseils… ne serait-ce que pour être meilleur à tes yeux ! » Tu es à quelques centimètres de son visage. Tu as envie de capturer ses lèvres. Son regard se trouble un instant. Tu te recules. Satisfait du trouble que tu provoques en elle ! Oui bien sûr que tu aimerais être meilleur à ses yeux. Bien que tu doutes pas d'être déjà excellent la première fois. Tu serais même capable de faire capoter les soins, rien que pour recevoir les précieux conseils. « Intéressant à savoir, je le note mais après il faudrait que moi aussi, je souhaite ta compagnie plus longtemps. Tu penses pouvoir m’en convaincre ? » L'en convaincre ? Il faut vraiment que tu sortes la liste des pour ? Tu arques un sourcil et bloques ton regard dans le sien. « T'en fais pas, je serai me montrer très convainc et persuasif ! T'auras même pas envie de sortir de la pièce ! » Il fait chaud d'un coup. Serait-ce toi ? Ou l'ambiance ? Tu bois cul sec pour la peine. C'est peut-être aussi l'alcool. Allez savoir. Tu ne sais justement plus rien ce soir. Tu le laisses porter par tes pulsions.
Ces dernières te conduisent à l’emmener à l'écart. Lui ayant révélé quelques choses quelques minutes plus tôt. Tu as bien vu qu'elle cherchait à savoir si tu disais la vérité. Tu pourrais lui avoir menti, comme tu l'as déjà fait dans le passé. Seulement là non. Là c'est différent. Tu le sens bien. Le fait que ses lèvres aient effleuré les tiennes, a provoqué quelque chose en toi. Tu sens bien que tu vas avoir du mal à te contrôler. Tu finis par la bloquer contre ton corps et le mur. Elle ne semble pas apeuré. Ce n'est pas comme-ci tu voulais lui faire du mal, bien au contraire. Tu ne souhaites que lui procurer du bien être. L’emmener au paradis, pourquoi pas, tu en es capable. Ton regard se perd dans le sien. Tes mains parcourent son corps, avant que l'une se cale sur le mur et l'autre sur sa nuque. Tes lèvres ne tardent pas à joindre les siennes. Baiser qu'elle te renvoie. Vos bouches ne se décollent pas l'une de l'autre. Elle t'attire un peu plus contre elle. Te tenant contre elle. Tu ne comptais pas partir. Tu descends tes lèvres dans sa nuque, sa peau est aussi chaude que la tienne. Tu sens sa jambe montrer contre la tienne. Ton corps vibre au son de la musique, mais surtout à son contact. Ta main descend et termine vers son fessier, tu en profites pour la serrer d'avantage contre ton corps. Des frissons parcourent ton corps, au contact de ses lèvres sur ta peau, mais surtout de ses mains sur ton torse. Il faut que tu sortes d'ici ou ça va devenir chaud, encore plus que maintenant. Tu remontes tes lèvres vers son oreille, murmurant « tu veux qu'on aille ailleurs ... » tes lèvres retrouvent le chemin vers les siennes. Tu poses ton front sur le sien. Tu es brûlant. Brûlant de désir pour elle. Tu lis dans son regard, qu'elle te suit. Tu respires un instant, le temps de retrouver tes émotions. Et surtout de te calmer un peu. Tes doigts s’entremêlent dans les siens. Tu saisis ses lèvres à nouveau, avant de te détacher doucement d'elle. Impossible pour toi de la quitter, ta main tient fermement la sienne. Pas de façon brutale, mais plus protecteur. Tu lui fais comprendre qu'elle est à toi, mais d'une façon presque romantique. Une première pour toi. La musique raisonne en fond, tu t'en fous. Elle se tient à tes côtés. Tu la ramènes près de toi, tu ne veux pas qu'elle s'échappe. Huant un taxi. Tu saisis sa taille et captures ses lèvres à nouveau. Ce soir tu t'en fous des conséquences, tu captures juste l'instant présent …
Sujet: Re: crazy night w/ syrius Ven 29 Jan - 11:48
crazy night.
Syrius Arbuckle & CLÉO RHODEZ
Tu sens que ce soir sera différent, que peut-être tout changera entre vous. Ce n’est pas une mince affaire de passer d’amis qui se cherchent à amant d’une nuit. Tu ne sais pas ce que cela va donner, sans doute le regretteras-tu plus tard voyant qu’entre lui et toi, ce n’est plus la même chose. Mais tu ne peux te résoudre à résister de nouveau à cette fichue attraction, celle qui te fait tourner la tête à chaque fois que ton regard se pose sur lui. Ce n’est sans doute qu’un jeu pour lui, une fille de plus à ajouter à son carnet de chasse mais tu t’en moques. Après tout, tu as pris l’habitude de jouer avec le feu en sa compagnie, tu aurais été bien idiote de croire que tu ne pouvais guère te brûler à ses côtés. Puis, si tu devais être franche, chaque parcelle de ton corps le réclamait. L’alcool t’aidait à ne pas prendre la fuite ou bien à juste le repousser avec un sourire, montrant que tu avais juste envie de jouer encore un peu. Là, tu ne pouvais que craquer. Bien que la peur du lendemain t’effraie, tu n’as jamais vraiment réfléchi à ce qui se passerait si lui et moi finissaient un jour dans le même lit. Bon, ok tu y avais déjà pensé une ou deux fois mais jamais aux conséquences. L’attraction disparaîtrait peut-être après ? Effaçant ainsi ce jeu entre vous et tu deviendrais alors qu’une simple et banale amie si tu n’étais pas oublié d’ici là. Tu devrais arrêter de te casser la tête pour un rien et juste profiter de cette soirée te dit une petite voix dans ta tête. Tu es encore jeune et tu as bien le droit de t’amuser un peu. Ce fut avec cette belle résolution que tu termines ton verre. Tu sens le liquide descendre le long de ta gorge, buvant d’une traite ta boisson. Cela ne risque pas de te faire du bien mais tu t’en moques. Tu veux tout oublier aujourd’hui, tes pensées, tes doutes. Tu veux juste profiter de l’instant présent et en particulier de cet homme qui se trouve en face de toi. Le fait qu’il te provoque te rend dingue, il affole tes sens. Tu sens l’envie brûler au fond de toi, tu te mordilles la tête pour ne pas céder trop vite. Tu veux essayer de remporter ce jeu mais tu sais très bien comme lui sans doute que tu finiras par craquer. Ce soir sera l’exception à ce petit jeu instauré entre vous. Lorsque son visage se rapproche du sien, tu sens ta respiration se bloquer un instant avant que le son de sa voix ne se fasse entendre. Tu ne peux que sourire face à sa remarque. « Oh. Je vais me sentir flattée si tu le fais que pour moi, il n’y a plus qu’à espérer que tu sois attentif à mes conseils et que tu ne sois pas distrait par autre chose… » Les battements de ton cœur s’accélère quand son visage s’approche du tien, tes yeux fixent un instant ses lèvres et tu es bien consciente que ton trouble se voit. Tu ne sais même pas si tu serais capable de le cacher malgré tes efforts. Tu vas tout mettre sur le dos de l’alcool et tu te fais la promesse de ne plus trop en boire surtout en sa compagnie. Même si tu sais que tu ne la tiendras pas, tu apprécies trop ce sentiment de bien être qui parcourt ton corps pour te permettre d’y renoncer. Tu te sens plus libre, d’ordinaire il y a une barrière entre vous et aujourd’hui, celle-ci semble s’être fissurée. Tu ne cherches même pas à en savoir la cause, tu ne souhaites qu’une chose. Qu’elle ne se referme pas de nouveau. Ou du moins pas ce soir. Ce soir, tu veux pouvoir être sienne. Voir ce que cela fait d’être dans ses bras, de goûter à ses lèvres si attirantes et d’être en accord avec lui. « Je mémorise, fais attention à tes paroles. » dis-tu en le regardant droit dans les yeux. Tu sens la tension monter encore d’un cran. Tu ne prêtes même plus attention aux gens qui sont autour de vous. Tu ne vois plus que lui et tu finis par le suivre.
Aucune hésitation ne se lit sur ton visage quand tu finis par prendre sa main, tu sais ce qui se passera par la suite. Et loin d’avoir peur, ton envie se fait encore plus forte. Comme si cette bulle qui te faisait lui résister avait décidé d’éclater pour te laisser libre de tes mouvements pour cette nuit. Et pour lui prouver que tu es prête à arrêter de jouer, tes lèvres frôlent les siennes avant que finalement l’attraction soit trop forte et que vous vous retrouvez à vous embrasser dans el coin de la pièce. L’une de tes mains vint dans ses cheveux tandis que l’autre le tient comme pour être sûre qu’il ne s’échappera pas. Tu sens la chaleur monter d’un cran et tu sembles manquer d’air. Cette sensation est tellement grisante que lorsque tu sens ses lèvres sur ton cou, un léger soupire s’échappe de tes lèvres. Ta tête part en arrière alors qu’un de tes jambes vint entourer sa taille, frôlant l’une de ses siennes en même temps. Et lorsqu’il te propose d’aller ailleurs, tu hoches la tête, les yeux un peu noircis par le désir qu’il te procure. Vos doigts s’entrelacent lorsque vous sortez du bar, l’air frais te fait du bien mais n’enlève rien à la chaleur que tu ressens. Tu le vois arrêter un taxi et tu montes à l’intérieur après un baiser qui ne serait sans doute pas le dernier de la soirée. Le voyage en taxi se fait long, ou du moins de ton point de vue. Tu ne peux t’empêcher de déposer tes lèvres sur les siennes tandis que ta main se pose sur sa jambe. Le chauffeur ne semble pas faire attention à vous et tant mieux, tu aurais dans ton état normal, tu aurais sans doute été bien embrassé. Tu finis chez lui et lorsque la porte se ferme, tu ne perds pas de temps à ce que vos lèvres se rejoignent. Rapidement, vos vêtements tombent un par un sur le sol et ton cerveau semble complètement ailleurs quand finalement cette nuit se termine par tes soupirs.
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