~ Origines : Il a des origines galloises par sa mère et anglaises par son père. ~ Lieu de naissance : Bryn est né à Llantrisant, au Pays de Galles. Il y a vécu jusqu'à ses quinze ans, après quoi, il a suivi son père à Brooklyn, aux États-Unis. ~ Nombre d'enfants : Aucun, il espère cependant devenir papa un jour. ~ Situation amoureuse : Célibataire et libre comme l'air, c'est ce qu'il dit. En réalité, il désespère de ne trouver chaussure à son pied. Faut dire qu'il n'est pas très doué avec les femmes. ~ Qualités : Franc, humble, drôle (de par sa maladresse), extrêmement positif & optimiste, rêveur... ~ Défauts : Maladroit & étourdi, inconscient, infatigable (ne tient pas en place), bruyant (passe rarement inaperçu), curieux... ~ Finances : $$$, son métier lui permet de vivre aisément. De plus, n'étant pas vraiment dépensier, il a de quoi faire en cas de pépin.
Tics et manies du personnage :Bryn est surement le mec le plus heureux que vous avez jamais vu. Il ne perd jamais son sourire. On peut aussi bien l’insulter ou le frapper, il reste planter là à sourire. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est célibataire. Impossible de le faire réagir pendant une dispute. Il n’aime pas les conflits, il ne sait pas comment se comporter alors il ne fait rien, et ça a le don d’en énerver plus d’une. + Brynley ne boit pas de café. Par contre, c’est un amoureux inconditionnel du thé. Il ne pourrait pas survivre une journée sans une bonne tasse de thé fumant. Son côté britannique qui ressort, sans doute. + Il est absolument passionné par l’astronomie -à ne surtout pas confondre avec l’astrologie devant lui, il pourrait se vexer- il en a d’ailleurs fait son métier. Il étudie les étoiles, les planètes, leurs mouvements et bien d’autres choses encore. Son télescope, c’est son bébé. + Il ne conduit pas. Si on l’écoutait, on penserait qu’il préfère prendre les transports en commun pour le bien de la planète. En réalité, c’est juste un danger public. Etourdi comme il est, il n’aurait jamais obtenu son permis de conduire, déjà qu’il a du mal à ne pas créer d’accident quand il prend son vélo… +
→ the story of my life«
LEY ! CUISINE ! » Tu lèves les yeux pour regarder bêtement la porte fermée de ta chambre, comme si de ton lit tu pouvais apercevoir ton père qui t’appelle depuis le bas des escaliers. Tu poses ton cahier à l’envers pour être sûr de ne pas perdre ta page, puis tu t’exécutes. Une fois dans la cuisine, tu t’assoies sur la première chaise que tu rencontres. Alys et Moira sont toutes les deux adossées contre le mur du fond. Quant à ton père, il tourne en rond en ronchonnant. Comme d’habitude quoi. «
Si on devait déménager, où est-ce que vous voudriez aller ? » Tu arques un sourcil. C’est une vraie question ? Tes sœurs ont l’air aussi surprises que toi, pourtant votre père a l’air tout à fait sérieux. «
Loin. » répond la plus jeune. Faut dire qu’Alys a toujours rêvé de quitter le Royaume Uni. Chose que tu ne comprends absolument pas, mais tu n’objectes pas sa réponse pour autant. Toi, tant que tu peux continuer à étudier la physique et à jouer de la guitare, tu t’en fiches. «
On peut choisir absolument n’importe quel pays ? » Ton père acquiesce avant d’avoir une prise de conscience, enfin c’est ce que tu te dis quand il se reprend : «
tant qu’on y parle anglais, oui. » C’est sûr que c’est mieux vu qu’aucun de vous trois ne parle une autre langue. Moira te regarde, un point d’interrogation marqué au fer rouge -métaphoriquement parlant- sur son visage. Tu hausses les épaules. Non sérieusement, peu importe la destination, ça t’est égal. «
Bon bah les Etats-Unis alors ? En plus, t’as pas un oncle qui s’est installé là-bas ? » Une fois de plus, votre père agite sa tête. On dirait presque qu’il est sur ressort. L’idée t’amuse. «
Si, si. Il habite à Brooklyn maintenant. » Les yeux d’Alys s’illuminent. Tu as du mal à croire qu’elle n’y ait pas pensé d’elle-même. «
On va à New York ?! » demande-t-elle pleine d’espoir. Tu te mets à rire. Le ressort s’agite à nouveau. La benjamine laisse échapper un « yes » qui vient du fond cœur, et ton père ajoute finalement : «
Je vous laisse vous débrouiller pour faire vos cartons, il y en a plein le grenier. Dès que je nous trouve un toit là-bas, on déménage. » Ça a le mérite d’être clair. Vous quittez la cuisine un par un sans prendre la peine de poser de question. Vous savez trop bien ce qui se passe dans la tête du père Hartman. Cela fait plusieurs mois que votre mère est partie et il se décide enfin à reprendre les choses en mains … même si cela consiste à fuir le pays. Au moins, y a une évolution, c’est déjà ça.
New York, New York. Tu t’y fais. Ça change beaucoup -pour ne pas dire énormément- de votre petite ville tranquille du Pays de Galles. Ce qui te fait vraiment bizarre ce sont les gens qui s’agglutinent absolument partout. Il y a trop de monde. Ton lycée fait dix fois la taille de ton ancien établissement, les rues sont bruyantes… Tu te sens insignifiant. Ouep, c’est le mot. M’enfin, tu t’en fiches un peu. Tu as ton télescope, ta guitare et puis tes sœurs ont l’air d’être heureuses. C’est tout ce qui t’importe.
Bon bah ça y est. Tu t’es encore fait larguer. Tu te laisses tomber sur le canapé de Moira en soupirant. «
Mais comment tu fais pour toutes les faire fuir comme ça ? » Tu lèves les yeux au ciel et balances ta tête en arrière. «
J’suis une quiche. » Et c’est le cas de le dire. «
Je m’énerve jamais. » La tête de Moira apparait au-dessus de la tienne alors que ses mains s’appuient à gauche et à droite de ta tête. «
Hm ? » «
C’est ce qu’elle m’a dit. » Tu peux comprendre l’incompréhension de ta sœur. Toi, non-plus, tu ne vois pas en quoi c’est une mauvaise chose. T’es un mec heureux : ton truc c’est de sourire, pas de faire la gueule. «
Ah… » C’est quoi ce ah ?! Tu te redresses d’un coup manquant de te manger le front de ta sœur. «
Quoi ? » Elle agite ses mains devant elle comme pour te dire de laisser tomber, sauf que tu ne lâcheras rien. «
Non, dis-moi. » Elle soupire avant de venir se poser sur le canapé. «
Bah quand une fille te provoque pour que tu réagisses et que tu réagis pas, bah elle pense que tu t’en fiches. » Tu laisses un son aigu sortir du fond de ta gorge. Nan mais c’est que ça te désespère tout ça. «
Mais c’est pas ça ! J’aime pas les conflits… Les débats, c’est mon dada, mais les emmerdes, je les fuis. » Moira pose sa main sur ton bras. «
Je sais bien, mais bon des conflits y en aura toujours. Faudra bien que t’apprennes à les gérer un jour. » Tu pouffes. En fait, ce qu’il te faudrait, c’est une nana qui crée et qui règle les conflits toute seule… ou encore une nana qui ne crée pas de conflit. T’es mal barré mon gars.
~ Pseudo/Prénom : Je suis edoxe aka Marine.
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