Kim • A défaut du pardon, laisse venir l'oubli

~ Origines : américaine, mais sa grand-mère avait du sang méridien dans les veines ~ Lieu de naissance : Brooklyn ~ Nombre d'enfants : 0 ~ Situation amoureuse : néant ~ Qualités : Polie, respectueuse, souriante, débrouillarde, a les pieds sur terre  ~ Défauts : un brin colérique, assez distante aux premiers abords, renfermée, a un brin de folie en elle ~ Finances : $.

Tics et manies du personnage :
Se fait appeler Kim - Mangeouille une mèche de ses cheveux quand elle est agacée ou gênée – enchaîne les petits boulots pour essayer de joindre les deux bouts – généralement les fins de mois sont difficiles – Veut un chien, mais ça coûte trop cher – aime bien aller courir pour se vider la tête – c'est la première a vouloir aller se saouler, tant qu'elle ne paye rien – est la reine des bonne affaires – n'aime pas qu'on la juge sur son compte en banque – sort toujours bien habillée, pauvre ne veut pas dire qu'elle manque de style -  son moyen de locomotion ? Ses deux jambes et le bus – ne peut s’empêcher de tendre la main a quelqu'un qui en a besoin –  même dans sa situation elle est plutôt du genre a voir le verre a moitié plein – adore les contes de fée et espère secrètement que son prince charmant arrivera sur un cheval blanc -  n'a jamais eu de relation sérieuse, habituée a son indépendance elle a du mal a laisser quelqu'un rentrer dans sa bulle – a pris un petit appart' pour soulager sa mère d'un poids -  

→ the story of my life
Ma mère a toujours été plus une amie pour moi qu’une vrai mère. J’entends par là qu’elle n’a jamais eu ce coté maternel que toute mère devrait avoir. Heureusement pour moi ma grand-mère était là pour s’occuper de moi jusqu’à ce que je puisse le faire toute seule. Et quand à mon père, je ne l’ai jamais connu. Je ne connais même pas son nom à vrai dire. Ma mère n’a jamais voulu parler de lui, me disant que c’était juste un client de l’époque. Qu’apparemment la capote avait craqué enfin je vous épargne les détails affreux qu’elle m’a donné le jour où je lui ai demandé. Depuis ça a été radical, j’ai plus rien demandé du tout. C’est comme ça avec ma mère. Dès qu’elle ne veut pas me dire un truc elle se contente de trouver les mots qu’ils ne faut pas pour que je l’embête plus. Ce n’est pas elle qui a fait mon éducation, mais bien ma grand mère. Elle a toujours été là pour moi et c’est grâce à elle que j’ai appris les bonnes manières et les principes de la vie . J’ai toujours été pauvre. Depuis toujours. Ma mère se contente de faire le trottoir pour nous faire vivre et ma grand-mère vent des babioles aux passants. Toutes sortes de choses fait mains qui lui ont pris des heures à fabriquer mais qu’elle vend à tout petit prix. J’ai toujours trouvé ça injuste pour ma grand-mère, mais dès que je  m’indignai contre la société, elle me répondait avec son doux sourire qu’elle était fière de voir que les gens aimaient ce qu’elle avait fait et que ça, ça n’avait pas de prix.

Mon enfance se passa relativement bien. Tant que j’évitais de dire le métier de ma mère, les années scolaires se passaient tranquillement. Restant dans mon coin pour ne pas attirer l'attention. Je n'étais pas ce qu'on appelait  une populaire, mais j'en avais rien a faire. Je me concentrais sur les études, attendant juste que ça se passe. Je ne remercierai jamais assez ma grand-mère, je crois que c'est grâce a elle que je ne suis pas tombée dans la délinquance où la drogue. C'était facile de passer de l'autre côté de la ligne.Mais à l'âge de 16 ans il fallait bien se rendre à l'évidence, l'école n'avait jamais été fait pour moi. Alors c'est tout naturellement que je décidai de s'introduire dans le monde du travail. Il était hors de question que je suive l'affaire familiale, et même si ma mère ne m’avait jamais vu comme sa fille, elle ne me voyait pas finir comme elle de toute façon. Pas encore majeure, je n'avais pas beaucoup de choix. Je commençais par du baby-sitting. Mon sourire et ma politesse faisaient qu'on avait très vite confiance en moi. Alors dans le quartier j'étais considérée comme la bonne petite fille. Ma grand-mère nous quitta un an après. Même dans son cercueil on avait l'impression qu'elle souriait. Comme si elle était mieux là-bas qu'ici. Il eut peu de monde a son enterrement, mais assez de gens tristes pour se rendre compte qu'elle était aimée. Moi aussi j'aimerai bien avoir des gens qui pleurent a mon enterrement, ça  prouverait que je manquerai a quelqu'un au moins …

Mais me voilà 6 ans plus tard, à l'âge de 23 ans, a essayé de joindre les deux bouts. Moi Kimberley Jefferson essaye toujours de trouver le sens de sa vie.

---

~ Pseudo/Prénom : zboo ~ Âge : 21 ans  ~ Avatar : Shay Mitchell ~ Connexions : passe tous les jours ~ Commentaires : j'adore friends aors comment passer a côté de vous!